Le sillon du temps a posé son empreinte

Qu’a-t-il fait couler comme encre à penser.

Sur le tableau, l’âme écorchée, repeinte,

S’épuise, dans un sursaut de vie, est pansée.

Le rêve t’a mis sur le chemin des roses,

à chaque pas, et dans la lumière du soleil,

tu cueilleras la fleur, ne sois pas morose,

elle est pour toi seul et tu n’as pas de pareil.

    le cochon, c'est certain c'est une noble bête

                    carchez lui tout est bon ;

De ses tripes d'aucun aiment les andouillettes,

                   D'autres préfèrent le jambon.

Ses boudins gras et fins chantent dans la friture,

                 En nous mettant en appétit,

une chanson ,qui,par ma foi, fort bien augure

                Du festin qui nous réunit.

Car tuer le cochon est une grande fête

      lorsqu'il commence à faire frais;

Avec ses grotillons on fait ses fougassettes

     Qui se trampent dans le café.

Quand au bon saucisson que l'on met sur la table,

    Ou qu'on emporte dans les champs

Pour chasser ou pêcher, c'est un met délectable

        Que l'on savoure en l'arrosant

  D'un bon vin blanc provenant des costiéres

      Des Costières de Gallician.

C'est pourquoi le cochon, des Cévènes ou d'Auvergne,

       Doit être abondamment nourri.

Lorsqu'il à bien mangé patates et châtaignes

      son embonpoint nous réjouit.

Il ne faut cependant dépasser la mesure,

      Nous priver de ce qui lui plait

Et, pour qu'il soit dodu de la queue à la hure,

     Le nourrir de germes de blé.

Aussi un boulanger , un peu poète,

       Trés certainement réboussié

S'en veint trouver le roi des porcs en sa retraite

          et lui dit à peu prés:

Ô toi , qui débonnairement sur les porcs régnes,

      les porcs qu'il nous faut engraisser:

que tes charments sujets se bourrent de châtaiges

      Mais laisse nous le germe de blés .

ô toi qui es venu nous rejoindre sur terre

PetitAnge adoré nous te disons :Merci.

Tu réjouis le cœur de ta si douce  mère,

Doux rayon de soleil tu réchauffes nos vies.

Aux côtes de Mathias ton ainé et ton   frère

 Complice de ces jeux tu seras et parfois,

Il faudra que papa se  mette en colère

Dans les bras de maman, tu te réfugieras. 

Tu es le fruit chéri de deux être qui s’aiment.

Nul ne sait le chemin qui nous est réservé !

Ta vie nous la voulons plusbelle qu’un poème

Jalonnée de bonheur, d’Amour ,prospérité.

SI parfois vous passez devant ma sépulture

Sur le bord de son marbre posez-vous un instant.

Le silence des morts n’est que légende pure

Le tombeau est muet pour celui qui n’entend.

Dans le recueillement votre coeur s’émerveille

 Je suis la près de vous présent en votre esprit,

Tendrement dans vos yeux  mon souvenir s’éveille

Séchez enfin vos pleurs, car cette tombe vie.

ÉTOILES FILANTES de (François Coppée) Etoiles filantes


Dans les nuits d'automne, errant par la ville,
Je regarde au ciel avec mon désir,
Car si, dans le temps qu'une étoile file,
On forme un souhait, il doit s'accomplir.

Enfant, mes souhaits sont toujours les mêmes :
Quand un astre tombe, alors, plein d'émoi,
Je fais de grands voeux afin que tu m'aimes
Et qu'en ton exil tu penses à moi.

A cette chimère, hélas ! je veux croire,
N'ayant que cela pour me consoler.
Mais voici l'hiver, la nuit devient noire,
Et je ne vois plus d'étoiles filer.

François COPPEE..1842/19O8.

Statue de marbre au teint diaphane
Sous la pierre polie aurais tu donc un coeur?
Je  caresse de l'oeil tes formes et rondeurs
ho divine beauté ho chaste et pure Diane.

La main qui te créa t'a insufflé son âme
Dans ton regard se lit ce sentiment d'amour,
Reflet de ce génie, qui te fit avec calme
Et s'immortalisa avec toi pour toujours.

La biche s'abreuvant à la source qu'elle aime,
Sur la feuille des bois n'entendit point ton pas
Et près de ce ruisseau au petit matin blême,
Vive comme un l'éclair,ta flèche la perça.

Toi la fière Artèmis cruelle et protectrice,
Tu sais parfois aussi avec délicatesse
Devenir pour ce faon une tendre nourrice;
Ho déesse ambigüe ho Diane chasseresse.

Nous sommes enlassés ensemble  sur le lit,
J'embrasse tendrement ta bouche au goût de fraise,
Mes doigts se sont glissés sous ton rose body,
Ton téton s'est dréssé et tu en frémis d'aise.

Et mon coeur bat plus fort et mon pouls s'accélère,
Le sang bouillonne en moi comme un fleuve en colère,
Tes longs gémissements attissent mon plaisir,
Tout mon corps s'est durcit pour combler tes désirs.

Ma bouche va et vient de tes seins au pubis,
Au creux de ce vallon où je puise une eau pure
Je m'attarde à jouer avec ton clitoris,
Ce fruit gorgé de sucs tu me l'offres en pâture .

Tu relèves ma tête, tu es trop exitée.
Tu explores mon corps de tes lèvres enfiévrées
Et mon menbre frémit lorsqu'il trouve te bouche,
Mon gland semble exploser quand ta langue l'attouche.

Si le plaisir est mûr il faut le consommer.
En signe d'abandon tu écartes les cuisses,
Tu me désires en toi.Nous allons fusionner
Dans un cri libérant ainsi notre supplice.

Etre Nîmois ce n'est pas rien:
C'est avoir pour encêtre quelque consul Romain
C'est aimer le soleil, les figues et les olives,
Grandir en s'ennivrant du parfum des garriques.
C'est aimer l'amandier, l'oranger, les clapas,
Le coucher de soleil sur les tuiles d'un mas.
C'est aimer le pastis, la morue en brandade,
Les discours, les chanssons, l'humour la galéjade.

C'est être péscadou et chasseur pour bluffer
Faire la fanrandole au besoin au mazet.
Etre joueur de boules de longues et de pétanque,
Dire qu'on l'a touché même si on la manque.
Savoir parler Français,Provençal ou patois
Et sans en avoir l'air parler latin parfois.
Frémir en contemplant nos antiques arènes
Notre maison carrée et l'immense fontaine.

Voici nos expréssions: "As pas poou" "quel baquet"
Je te vire un" gaoutas" je te tire un" taquet".
C'est dire: "viel foudu, cies un gros beligas"
Saïs que té manquo un céouclé bougré de tarnagas.
C'est admirer ces légs, richesses de nos pères,
Que furent Antonin, Titus Trajan, Tibère.
C'est dire avec amour, plaisir sans contredit:
"Coulégo sieïs de Nîmes, et je suis du midi"

Etre nîmois mais c'est être un surhomme,
C'est être Ratchalan et petit fils de Rôme,
C'est faire un tour de ville un jour de férria,
S'accoster bruiyamment, parler avec les bras.
Inviter un ami "boit ça que tu voudras"
Dire s'il vous refuse ;"vaï té faïré encadra"
Etre Nîmois, mais c'est vraiment sublime
Aussi je suis très fier, car moi je suis de Nîmes.

Petites_phrases_superbes.pps.....D'oùvient la tradition de la fête des Amoureux pour la Saint valentin ?
Une hypothèse avancée et la plus romantique pour moi, serait que les oiseaux forment leur couple à la belle saison pour la Saint Valentin.
Maintenant Mesdames, Messieurs ce n'est pas nécessaire d'attendre le 14 Février, pour lui prouver votre Amour. Tous les jours un sourire, un regard, un compliment, un message laissé sur son portable, sera pour elle (lui) la plus merveilleuse Saint Valentin sans cesse renouvelée.

Ce prêtre vertueux prénommé Valentin,
Dont la réputation dans la cité de Rome
Chaque jour grandissait, si bien qu'elle vint
Aux oreilles de ce puissant grand homme,
L'Empereur Claude Deux. Il le mit aux arrêts.
Et valentin resta deux jours au purgatoire
Lesté de fers aux pieds et les mains enchaînées
Puis à terme il subit un interrogatoire.
L'EMPEREUR CLAUDE DEUX:
"Valentin tu renies l'amitié qu'on te donne
Et de nos ennemis tu es le protecteur,
Tu sais que l'on punit autant que l'on pardonne !
A l'égard de nos Dieux quelle est donc ta rancoeur".
VALENTIN REPONDIT:
"Seigneur si vous saviez ce qu'est le don de Dieu,
Cette bonté et cet Amour suprême!
Votre Empire et vous même seriez bien plus heureux.
Reniez vos Idoles, ne rendez point de culte
A vos Esprits immondes qui outragent le ciel.
Vous semez vos espoirs sur des terres incultes,
Seul au Jardin de Dieu l'abeille fait son miel".
UN JUGE PRENANT LA PAROLE:
"Que dis-tu de nos Dieux, qu'il sont des misérables,
qu'ils aiment se vautrer dans les plaisirs du corps?
Tu injuries nos Dieux et les puissants notables
que sont nos Gouverneurs. Tu mérites la mort."
ET VALENTIN REPRIT:
"Pour le sang répandu de ses humbles Chrétiens
Faites donc pénitence, croyez en l'Esprit Saint,
Il n'y a qu'un seul Dieu dont Jésus est le lien.
Soyez donc Baptisés car nul sait si demain
Ses yeux verront au ciel s'élever le soleil".
LE JUGE:
"La crainte de la mort ne te fait point faiblir !
Tu blasphèmes toujours, tes propos sont du fiel
Et tes exortations nous poussent à trahir
L'enseignement reçu par nos pères et leur père"....

Valentin fut conduit en un étroit cachot
où il resta longtemps seul avec ses prières.
Il subit des tourments on lui brisa les os.

En deux cent soixante huit, quatorze février
Il fut décapité sur la voie Flaminienne.
Au rang des Saints Martyrs aujourd'hui élevé
Car il connu l'enfer par la bêtise humaine........

Je vois que le blog de M. le Marquis figure parmi les plus lus. je vais donc essayer de me hisser au niveau de ses chevilles,afin de prendre part à la course mais je sais que se sera trés dur!
La Sainte du jour est donc Agathe.

Voyons sur notre Agathe, que pourrais-je donc dire?
Si non que cette vierge est morte en martyre.
Ses seins furent arrachés par de fortes tenailles
elle souffrit l'horreur au coeur de ses entrailles.
Dans ce cachot sans nom ou elle agonisait
Saint Pierre apparut et lui guérit ses plaies.
Nullement tourmenté par cette guérison,
Quintien la fit quérir du fond de sa prison
et lui fit subir tant d'humiliants supplices,
qu'elle en perdit la vie. Que Dieu la bénisse.

VOUS POUVEZ VERIFIER TOUT CELA EST VRAI.

voici le dicton à la con du jour:
C'est à la sainte Agathe que chante l'allouette car à la Sainte Agathe l'hiver est terminé
Mais à la Sainte Agathe nuages et pluie dorage prédisent grêle en été.
Sème tes poireaux, tes pois ou bien tes fèves et le ruisseau qui court à notre Sainte Agathe
mettra toute l'année du lait dans ta baratte.......

OUI OUI,VOUS POUVEZ VERIFIER, TOUT EST VRAI .